Une première « rentrée Peillon » décevante

La saignée budgétaire n’a pas touché l’éducation, contrairement à

d’autres ministères de la fonction publique. Pour autant, la rentrée

s’annonce difficile : privée de 80000 postes ces dernières années,

l’école est exsangue ; elle connaît aussi une crise de recrutement et

les créations de postes consenties par Vincent Peillon ne sont pas à

la hauteur, absorbées pour beaucoup par les besoins de la

formation ; la situation est dégradée également par la continuité

d’une politique éducative, contestée pourtant. Les conditions d’une

rentrée sereine ne sont donc pas réunies. (voir la suite en pj)